PROtestants et FILmophiles

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Archive des éditos

Edito : octobre 2013

A quoi sert Pro-Fil ?

Bien évidemment non. La publication de Vu-de-Pro-Fil, la production de fiches de films sur protestants.org, la mise en ligne et l'entretien du site pro-fil-online, les articles contribués régulièrement ou occasionnellement à diverses revues, les émissions de radio (cine-qua-non, désormais champ-contrechamp) sont autant d'outils par lesquels Pro-Fil tente de mettre à disposition d'un public aussi large que possible le fruit de son expérience, de sa réflexion, de son travail.

Mais c'est d'une forme particulière de service qu'il sera question ici. Pro-Fil s'est trouvé souvent sollicité pour des interventions ponctuelles, par des paroisses ou institutions de mouvance souvent œcuménique.  Cela a pu prendre place dans l'environnement proche de nos groupes, comme les projections animées par Pro-Fil au cinéma Diagonal à Montpelllier, à l'Auditoire protestant à Paris, à Vitrolles, à Lyon - mais aussi dans un contexte plus lointain, comme les week-ends de 'formation'  (lecture de l'image) tenus à Nantes et à Poitiers, ou le mini-festival du jubilé Calvin à Genève, ou encore les cultes 'illustrés par le cinéma ' de Caen... entre maints autres exemples. Cette forme d'activité n'est peut-être pas familière à la majorité des profilien(ne)s, mais elle permet un rayonnement vers un poblic pas seulement cinéphile (car vous l'êtes tous, lecteurs, si, si !), un public pour lequel la recherche du sens au cinéma peut être une découverte d'autant plus riche.

Mettre l'accent ici sur cette partie de nos activités, c'est aussi rappeler que les occasions de rendre ce service sont très nombreuses, et que nous ne devons pas hésiter à faire savoir, dans les milieux  qui nous entourent, que Pro-Fil est un réservoir de compétences et de bonnes volontés auquel il vaut la peine de s'adresser. Voilà encore une autre façon de valoriser l'apprentissage que nous fournissent nos réunions régulières et nos journées de séminaire cinéphilique, régionales ou nationale comme à Sommières ce mois-ci.

Jacques Vercueil