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Le prix du jury oecuménique est décerné au film
© Festival de Karlovy Vary
Jusqu'où un homme peut-il aller par amour ? Jusqu'à quand une femme peut-elle mettre de coté ses rêves et aspirations? As Far As I Can Walk est une grande histoire d'amour dont les images conjuguent précision documentaire et poésie intemporelle. Un film qui aborde avec justesse l'expérience de la migration et ses réalités, et dont la dimension épique finit par prendre le tour d'une Passion.Synnopsis : Strahinja et sa femme Ababuo ont quitté le Ghana avec le rêve d’une vie meilleure en Europe. Au lieu d’atteindre la partie ouest du continent ils sont renvoyés en Serbie. Strahinja a commencé à se construire une carrière, tandis que Ababuo n’arrive pas à réaliser ses ambitions et est de plus en plus frustrée. Quand, un jour, elle disparaît part à sa recherche. (Informations du Festival, Karlovy Vary)
En outre, le Jury oecuménique décerne une mention spéciale au film :
© Festival de Karlovy Vary
Zbornica nous plonge dans le quotidien intense d'Annamarija, nouvelle conseillère principale d'une école croate, au sein de laquelle elle devra se battre pour le bien commun, appréhendant l'institution et ses règles tout en restant fidèle à ses valeurs. Pour ce premier long-métrage, la réalisatrice Sonja Tarokic démontre un grand talent pour le choral et les jeux de focales, mais surtout une réelle bienveillance dans l'écriture de ses personnages. Un hommage universel à toutes les équipes éducatives, énergisant et inspirant.Synopsis : Anamarija commence son nouveau Job en tant que conseillère dans une nouvelle école et s’adapte petit à petit à ce nouvel environnement. Le spectateur commence à comprendre avec elle que type d’hommes et de femmes sont les enseignants, témoin de petites querelles dans la salle des professeurs, les dispute entre les élèves, la communication avec les parents et finalement les jeux de pouvoir derrière les coulisses. La caméra dynamique, la mise en scène précise et soigneusement chorégraphiée souligne la force et la maîtrise de ce premier film de Sonja Tarokić sur la lutte de l’individu à l’intérieur d’un système et les efforts nécessaire pour garder sa propre intégrité. Le film est en plus une étude complexe d’une insitution dont les collaborateur ont pris sur eux la charge la pus responsable qui soit, celle d’éduquer les générations futures. (Lenka Tyrpáková, Filmfestival Karlovy Vary)
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