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Le prix du jury œcuménique est décerné au film
© Festival de Kiev 2020
Le drame monochrome de Melina Leon nous amène au Pérou de la fin des années 1980 quand la guerre civile battait son plein. Il nous raconte l’histoire vraie d’une femme enceinte qui accouche dans une clinique fictive où sa petite fille lui est aussitôt enlevée par des marchands d’enfants. Un journaliste de Lima l’aide dans ses recherches de sa fille et ses démêlés avec les instances juridiques. De nombreux gros plans sur le visage de Georgina et un son de guitare solitaire la souffrance planétaire et le combat des mères en terrain hostile.
Synopsis :
Pérou, lors de la crise politique à la fin des années 1980. Georgina, une jeune femme des Andes, accouche dans une clinique fictive où on lui vole son enfant. Sa recherche désespérée de sa fille l’amène au siège d’un grand journal où elle rencontre Pedro Campos, un journaliste solitaire, qui entreprend des recherches. Le film repose sur des faits réels.
Les articles en ligne pour Cancion sin nombre (Chant sans nom*) :
Une mention spéciale a été attribuée au film
© Festival de Kiev 2020
Ce premier long métrage de Myriam Verreault raconte l’histoire de deux jeunes filles inuits, Mika et Shaniss d’Uashat-Maliotenan. Leur amitié à vie est mise à rude épreuves par les vicissitudes du destin. Une histoire qui nous parle d’amitié, de courage, de famille et comment on peut trouver un chemin malgré les difficultés. Situé dans l’univers des Inuits, le film parle un langage universel de l’espoir malgré des événements dramatiques.
Synopsis :
Deux meilleures amies grandissent dans la communauté des Innuits, Mikuan dans une famille aimante, Shaniss au milieu d’une famille en ruine. Enfants, elles se sont jurées de rester fidèles l’une à l’autre, envers et malgré tout. Mais peu avant leur 17 ans, Mikuan tombe amoureuse d’un garçon blanc et rêve de quitter la communauté devenue trop petite pour elle.
Le prix du jury œcuménique dans la section films d'étude est décerné au film
© Festival de Kiev 2020
Techno-Dj Elli a une fille de 11 ans et vit pleinement le dilemme de beaucoup de femmes dans la société actuelle jonglant entre une profession passionnante et leur rôle de mère. Elli et Toni ne se font pas de cadeau mais la relation forte entre mère et fille tient bon et c’est ensemble qu’elles arrivent à gérer les difficultés. Ce court métrage pose la question quels choix s’offrent aux femmes.
Synopsis :
Elli travaille comme Dj de techno et adore la musique. Sa fille Toni grandit auprès de son père. Prise entre renoncement et affirmation de soi, Elli essaie d’être là pour sa fille et en même temps de vivre ses rêves.
Le prix du jury œcuménique dans la sélection courts métragesest décerné au film
© Festival de Kiev 2020
Anastasiia Bukovska raconte une histoire ukrainienne, incarnée par un acteur impressionnant, un drame universel et de tous les temps, celui du soldat qui revient de la guerre et qui doit porter le poids des événements traumatiques. Elle nous montre un chemin qui permet de sortir des ténèbres du syndrome post-traumatique en apprenant à nouer une relation plein d’amour pour un être, ici celui d’un chien, le ‘meilleur ami de l’homme’.
Synopsis :
Dmitri est un vétéran de guerre qui essaie de retourner à la normalité. Il tombe par hasard sur un Bullmastiff du nom de Roy qui est perdu. Les relations sont au départ compliquées, mais à la fin c’est Roy qui aide Dmitri à surmonter son passé douloureux.
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